Vilfredo FREDERICO PARETO italien né à Paris le 15 JUILLET 1848 d’un père italien en exile et d’une mère française il retourna en Italie à l’âge de 10 ans. Il fit ses études à l’université de TURIN et devient ingénieur en 1893 et fut nommé à la chaire d’économie politique de l’université de LOUSANNE ou il succéda à Léon WALRAS. IL mourut le 19 AOUT 1923.
Pour lui, la sociologie peut être définie comme science des actions non-logiques, non naturelles et liées nécessairement à l’homme.
Pour répondre à la structure sociale de sa pensée, l’auteur énonce plusieurs concepts non seulement en économie mais aussi en sociologie. En économie, il parle des actions qui ont du sens pour les deux acteurs, c’est- à-dire les actions logiques et en sociologie, il énonce les actions non logiques qui sont contraires à celles dites logique. Autrement dit que ses actions qui sont soient subjectives soient objectives ne présentent pas de lien logique, elles n’ont de sens que pour les observateurs extérieur ou encore pour aucun autre d’entre eux.
Les pères fondateurs tels qu’EMILE DURKHEIM AUGUSTE COMPTE MAX Weber pensent que la société se divise en plusieurs classes, pour PARETO, il distingue les classes sociales entre masse et élites, les élites elles-mêmes sont séparées entre élites gouvernementales et élites non gouvernementales.
La théorie de l’élite de Pareto est, sans aucun doute, une importante théorie politique et sociologique surtout par l’attention qu’elle porte à la circulation des élites. Quoique Max n’ait pas créé une théorie de l’élite dans le meme sens que Pareto, sa théorie des classes sociales et de leur succession a quelques points de ressemblance avec la théorie de Pareto. Nous croyons qu’elle est plus concrète que celle de Pareto et qu’elle d écrit mieux la réalité sociale et historique. Mais certains éléments de la théorie de l’élite peuvent utilement compléter la théorie marxiste des classes. Il est intéressant pour cela de comparer ces deux théorie a et de voir les points de contact entre elles ?
Pareto considère qu’il y a deux élites différentes dans la société :
Une qui est composé des gens les plus capable dans toutes les sphères de l’activité humaine ; c’est ce qu’on peut appeler élites générale. L’autre Elite, politique ou gouvernante, n’est qu’une partie de la première. Elle est composée de tous ce qui directement détient le pouvoir. Les membres de l’élite sont plus capables que des autres, et cette capacité un don naturelle. Les membres de l’élite gouvernante y sont entrés parce qu’ils sont plus capable que les autres pour la activité correspondante et non à cause de leur situation sociale. Bien entendu, Pareto ne nie pas totalement l’influence du facteur social mais l’accent est mis sur le facteur individuel capacité naturelle, talent. Puis que la division en élite gouvernante et non élite est un phénomène naturel et non pas sociale et puis que l’élite gouvernante constitue toujours une minorité dans une société donnée, il s’ensuit logiquement que le pouvoir de l’élite signifie en meme temps le pouvoir de la minorité.
La division du travail chez Karl MARX. L'analyse de la division du travail tiens également une place particulière dans la pensée marxienne. Elle est un moyen de faire du profit et sert le dessein (projet) de la classe dominante, mais elle conduit aussi à la séparation entre les hommes, à la constitution des classes et à leurs conflits. MARX cherchera dans le capital à retracer l'histoire de la division capitaliste du travail. Il part de la période manufacturière, car la manufacture est le véritable point de départ de la production capitaliste, en ce sens qu'elle va rassembler les ouvriers dans le même espace de travail. Si l'habilitée de métier reste le fondement de la manufacture, chaque ouvrier y occupe une fonction parcellaire. Le développement de la division du travail dans la période manufacturière se traduit pas une subdivision des opérations productives, par une parcellisation des fon...